À quatre mois de la présidentielle, le chef de l’État défend son bilan… contesté par les leaders de l’opposition. Mais c’est sur le terrain social que les uns et les autres vont devoir convaincre et muscler leurs programmes.
Comment gérer un pays dont le taux de natalité – 7,6 enfants par femme – est le plus élevé au monde et « mange » tous les ans quatre points de croissance ? Comment défendre un bon bilan économique quand l’uranium et le pétrole, deux des principales sources de revenus du pays, sont frappés par une baisse historique de leurs cours sur le marché mondial ? Ce sont deux des défis que tente de relever le chef de l’État nigérien, Mahamadou Issoufou, quelques mois avant la présidentielle, dont le premier tour est fixé au 21 février 2016.... suite de l'article sur Jeune Afrique