Après les explosions qui ont fait une quarantaine de morts à Baga Sola, le 10 octobre, une instruction a été ouverte, dix jours plus tard, contre une dizaine de membres présumés de la secte islamiste Boko Haram.
Deux magistrats ont été désignés pour procéder toutes affaires cessantes à l’instruction du dossier. Selon nos informations, d’autres jihadistes arrêtés sur les rives du lac Tchad après les attentats devraient êtres adjoints à la procédure. Fin août, dix membres de la secte avaient déjà été jugés et exécutés.... suite de l'article sur Jeune Afrique