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Jeffrey Feltman : « Daesh et Boko Haram se nourrissent des problèmes de mauvaise gouvernance »
Publié le mercredi 25 novembre 2015   |  Jeune Afrique


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© Autre presse par ONU/Mark Garten
Le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, Jeffrey Feltman.


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Présent au Tchad à l'occasion du sommet des chefs d'État du G5 (Niger, Mali, Burkina Faso, Mauritanie, Tchad), le 20 novembre, Jeffrey Feltman, secrétaire général adjoint aux affaires politiques de l'ONU, a répondu aux questions de Jeune Afrique.

Jeune Afrique : L’attaque de Bamako du 20 novembre montre que l’Afrique est en première ligne dans la lutte contre le terrorisme. Comment l’aider ?

Jeffrey Feltman : Ces événements, que je condamne avec fermeté au nom des Nations unies, sont un nouvel exemple de la nécessité de travailler ensemble contre le terrorisme : l’Afrique, l’ONU, le monde entier. Le terrorisme n’est pas un phénomène isolé dans une partie du monde. Nous devons le combattre à différents niveaux. Il doit y avoir des mesures militaires et sécuritaires, mais aussi un véritable effort pour analyser les causes de l’extrémisme violent, de la radicalisation, qui mènent au terrorisme. Il faut un effort uni qui intéresse aussi le développement, les droits de l’homme et la bonne gouvernance.

La coopération entre les pays du Sahel est-elle suffisante ?

Je suis impressionné par la façon dont les pays du G5 Sahel travaillent ensemble sur ces questions. Il y a encore beaucoup à faire, effectivement, mais aussi beaucoup de possibilités pas seulement au sein du G5, mais avec la Cedeao, la commission des pays du lac Tchad, l’Union africaine. Le G5 est une initiative nouvelle qui mérite notre soutien. Mais ce n’est pas la seule réponse. Par exemple, la Libye n’en fait pas partie mais ce qui s’y passe affecte la sécurité des pays du G5.
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