Sécurité oblige, le Fima n’a pu ouvrir ses portes à Niamey le 25 novembre. Le styliste nigérien espère réussir à financer le report de son festival.
En 1998, en pleine rébellion touarègue, Seidnaly Sidahmed alias Alphadi organisait le premier Festival international de la mode en Afrique (Fima). Au milieu de nulle part, aux portes de l’Aïr et du Ténéré, dans un magnifique théâtre de dunes de sable, le prince du désert avait dressé 800 tentes, construit quatre restaurants et mis à la disposition de ses 1 500 convives triés sur le volet une centaine de 4×4.... suite de l'article sur Jeune Afrique