Dix ans après le début du règne d'Albert II, la principauté est économiquement en pleine forme. Elle cultive sa particularité d'être à la fois un État et une sorte d'entreprise résolument tournés vers le continent.
Lorsqu’il remplace son père à la tête de la principauté, en 2005, Albert II veut donner plus de sérieux à Monaco. Les frasques de la famille Grimaldi, le décor d’opérette du palais et de sa relève de la garde, la fièvre du casino, c’est pain bénit pour la presse people.... suite de l'article sur Jeune Afrique