Hama Amadou, principal opposant au président Issoufou, restera en prison. La justice nigérienne, appelée à se prononcer sur une remise en liberté provisoire, a rejeté la demande lundi 11 janvier.
Il s’agit du second rejet prononcé par la justice nigérienne. Début décembre, la demande de liberté provisoire de Hama Amadou, écroué depuis près de deux mois pour un trafic présumé de bébés, avait été rejetée par la Cour de cassation, qui l’avait alors déclarée « irrecevable », rappelle l’agence de presse Reuters.
Candidature validée
C’est donc depuis sa cellule que l’ex-président de l’Assemblée nationale devra faire campagne pour la présidentielle du 21 février. Car s’il reste emprisonné, sa candidature a bel et bien été validée par la Cour constitutionnelle, a annoncé samedi 9 janvier le ministère de l’Intérieur.... suite de l'article sur Jeune Afrique