L’annonce a soulagé ses proches : Hama Amadou pourra se présenter à la présidentielle du Niger le 21 février prochain. La Cour constitutionnelle a validé sa candidature. Mais la Cour d’appel a refusé sa libération provisoire. Il est donc toujours en prison. Une situation contradictoire aux yeux de certains, et que Marie-Pierre Olphand a décrypté cette semaine dans Appels sur l’actualité.... suite de l'article sur RFI