La campagne pour l’élection présidentielle nigérienne a débuté le 30 janvier, mais n’a rien changé aux conditions de détention du candidat Hama Amadou. Et surtout au régime des visites auquel il est astreint.
Le régisseur de la prison de Filingué, où Hama Amadou, l’ancien président de l’Assemblée nationale – et par ailleurs candidat à la prochaine présidentielle – est incarcéré, a d’ailleurs été récemment muté. Selon un proche du dossier, il paie l’autorisation donnée à plusieurs candidats de l’opposition, sur demande d’un procureur général de la Cour de cassation, de rendre visite à Hama Amadou, le 25 janvier. ... suite de l'article sur Jeune Afrique