Les militants du PNDS et de la quarantaine de partis qui soutiennent Mahamadou Issoufou sont venus entendre leur président candidat.
Beaucoup de militaires étaient présents pour quadriller les abords du stade et les gradins. La lutte contre Boko Haram et un coup d’Etat déjoué récemment expliquent certainement le dispositif sécuritaire. Pourtant, il y avait comme un décalage entre le président nigérien, favori à sa succession, et son discours lu alors entouré par des militaires bien visibles.
Mahamadou Issoufou s’appuie sur son bilan pour annoncer une victoire par K.O. dès le premier tour dimanche à l’instar des voisins Alassane Ouattara, Roch Kaboré ou encore Muhammadu Buhari.... suite de l'article sur Autre presse