La réunion publique organisée par les équipes de Moïse Katumbi dimanche 24 avril 2016 à Lubumbashi s'est transformée en course poursuite avec les forces de l'ordre
D.R.
A Niamey, les autorités interdisent une manifestation; en République démocratique du Congo la police tire des gaz lacrymogènes à bout portant sur un Leader politique
«Ils ont militarisé le siège de notre collectif et tout le circuit que nous avions déclaré», se désole Ali Idrissa. Ce leader de mouvements citoyens et patron d’une chaine de télévision fulmine contre l'interdiction de manifester. Au Niger, la réélection de Mahamadou Issoufou a laissé un goût amer surtout à Niamey, fief de l’opposition. C’est là qu’Ali Idrissa avait prévu de réunir les nombreux déçus de cette élection présidentielle. Dans un contexte politique récemment qualifiée de «détestable» par le chercheur Jean-Pierre Olivier de Sardan dans l’hebdomadaire Marianne, cette marche était un appel à « la restauration de la démocratie ».... suite de l'article sur Autre presse