Alors que l’opposition a réintégré l’Assemblée nationale, la société civile nigérienne maintient la pression sur le pouvoir. Elle appelle à une journée ville morte jeudi, suivie par une journée de prière vendredi et une nouvelle manifestation samedi pour « lutter contre la remise en cause de l’ordre démocratique ».
Le collectif « Résistance citoyenne » a appelé, mardi 26 avril, à une journée ville morte jeudi 28 avril au Niger. « Nous sommes engagés à lutter pour le respect des droits dans notre pays », explique Ali Idrissa, responsable du collectif. « Nous allons continuer à lutter contre la remise en cause de l‘ordre démocratique et pour la lutte contre la corruption », ajoute-t-il.... suite de l'article sur Jeune Afrique