L’opération ville morte lancée par la société civile à Niamey a été un échec. Les habitants de la capitale ont vaqué à leur occupation comme si de rien n’était, ce jeudi 28 avril.
La capitale nigérienne et son million et demi d’habitants n’a pas répondu au mot d’ordre de la société civile pour une journée « ville morte ». Les services publics et privés, les transports interurbains, les banques et les marchés entre autres sont restés ouverts toute la journée.
Même les chauffeurs de taxi, sur lesquels les organisateurs avaient misé, n’ont pas respecté le mot d’ordre : « La ville morte ne nous arrange pas. Ça ne règle pas nos problèmes, explique l’un d’eux à RFI. En fait, même la société civile est divisée sur la question. »... suite de l'article sur RFI