C’est un SG de l’Union des Etudiants à l’Université de Niamey UENUN très remonté qui s’est présenté devant la presse pour animer un point de presse au lendemain de la violente répression de leur mouvement d’humeur par les forces de l’ordre et de sécurité. Un mouvement pour réclamer des autorités en charge des bourses le payement de la bourse du mois d’Avril commencé mais pas encore achevé.
Une intervention musclée qualifiée par l’UENUN d’irruption et c’est pourquoi la structure syndicale estudiantine demande que les auteurs de la violation des franchises universitaires et de jets de gaz lacrymogène sur le campus à quelque niveau ou ils se trouvent soient identifiés, poursuivis et condamnés pour leur forfaiture. L’UENUN n’entend pas baisser les bras jusqu’à ce que tous les étudiants qu’ils s’agissent des boursiers comme de ceux qui bénéficient de l’aide sociale entrent dans leurs droits. L’UENUN par la voix de son SG exige des commanditaires de cette violence gratuite contre leurs camarades de créer les conditions d’une meilleure prise en charge des étudiants blessés avant de demander la finalisation des chantiers en cours à l’université notamment les amphithéâtres, laboratoire, bibliothèque et salles de cours dans les brefs délais en vue d’améliorer leur conditions d’études.