Le premier sommet humanitaire mondial voulu par le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a fermé ses portes à Istanbul sur une note plutôt positive, malgré les doutes de certaines ONG au départ. 135 pays étaient représentés et c’était la première fois que des Etats, des ONG, des acteurs du secteur privé et les grandes agences de l’ONU se retrouvaient pour travailler ensemble. Ban Ki-moon a clos le sommet devant la presse en compagnie du président turc Recep Tayyip Erdogan.
Pour certains participants c’est sûr, le sommet va faire date dans l’histoire de l’humanitaire. Il se termine en tout cas mieux qu’il n’avait commencé, et mardi soir la plupart des participants se disaient satisfaits.
Ban Ki-moon s’est dit fier de ce sommet mais également déçu par l’absence des dirigeants du G7, à l’exception d’Angela Merkel. Il a interpelé les membres du conseil de sécurité : même s’ils sont absents, ils ont le devoir d’agir. Ban Ki-moon les a appelés à la compassion, à la solidarité, et à faire preuve de volonté politique pour résoudre les conflits.... suite de l'article sur RFI