L’opération doit en même temps permettre d’identifier ceux qui exercent la profession d’enseignant sans être titulaires d’un diplôme reconnu par les autorités.
Au Niger, les enseignants contractuels sont plus nombreux que les enseignants titulaires, qui sont dûment engagés par l’Etat.
Mariama Moussa, une enseignante contractuelle depuis six ans, est en poste dans une classe du centre-ville de Niamey, la capitale du Niger.
A l’arrivée des gendarmes enquêteurs de la HALCIA, elle suspend le cours, pour répondre à l’interrogatoire. "Ça s’est bien passé. Les enquêteurs m’ont demandé des documents. Je leur ai montré mon brevet, mon diplôme de l’Ecole normale et mon certificat de nationalité", dit-elle au correspondant de BBC à Niamey.... suite de l'article sur Autre presse