Réactions de tamtaminfo par rapport à un article intitulé « Niger: l’opposition politique appelle à l’élimination physique du Président »signé Ibrahim Aghali
Depuis un certain temps circule sur les réseaux sociaux un article intitulé « Niger: l’opposition politique appelle à l’élimination physique du Président ». Dans cet article, on s’est nommément attaqué à des gens qu’on considère comme des empêcheurs de tourner en ronds.
Nous aurions pu ignorer cet article abject si l’auteur n’a pas usurpé honteusement le nom de notre collaborateur Ibrahim Aghali pour jeter l’anathème sur des concitoyens.
Nous tenons ici à réaffirmer que nous ne sommes ni de près ni de loin derrière cette manière éhontée de faire du journalisme.
A tamtaminfo nous signons nos articles et Ibrahim Aghali comme il dérange beaucoup et empêche beaucoup de monde notamment les politiciens, détourneurs et autres malfrats au col blanc, de dormir tranquille, on cherche à le salir et à traîner son nom dans la boue.
Qu’il soit clair pour tous, Ibrahim Aghali va continuer son combat de recherche et de documentation, qu’il pleuve ou qu’il neige.
Nous n’avons pas peur de nous assumer et que ceux qui sont derrière cette attaque s’assument et signent leurs articles, Aghali Ibrahim est web contributeur au niveau de tamtaminfo et n’écrit pas ailleurs. Pour notre part, nous présentons nos excuses à tous ceux qui se sont sentis offensés par cette usurpation de titre.
Néanmoins nous constatons que le personnage de Ibrahim Aghali est assimilé au cabinet du Premier ministre, cela également Monsieur Pedro vous avez tout faut, dans votre poste où vous avez signifié que Aghali Ibrahim est un faux journaliste sans diplôme.
Cela prouve que vous êtes entrain de faire un jugement sur une personne que vous ne connaissez pas, ni de près ni de loin.
Est-ce que Monsieur Pedro fait-il parti des nouvelles recrues auxquelles certains gros malins « politiciens bien entendu » que nous gênons auraient demandé de nous faire la « peau » ?
Ou pour parler côtier « on t’a envoyé ? »
Nous lui répondrons en côtiers en lui disant « vas dire que tu ne nous as pas vu » !
Mais enfin, comme écris dans un précédant article:
« qu’il soit bien compris, que notre ardeur ne saurait être émoussée si d’aventure, il nous était fait obligation de poursuivre dans cette lancée, dans la mesure où notre travail de recherche et de documentation garde encore son potentiel intact ».
