Les responsables du centre de traitement ambulatoire (CTA) de Niamey ainsi que les patients tirent la sonnette d’alarmes. Tous constatent l’insuffisance des ARV (antirétroviraux) pour une catégorie des gens au Mali, pays où le taux de séroprévalence est de 0,4%.
Lundi matin, au centre de traitement ambulatoire de Niamey, une jeune patiente est venue s’approvisionner en médicaments. Le stress se lit sur son visage. En plus de sa maladie, elle est angoissée par l’incertitude de continuer à recevoir suffisamment des médicaments qui le maintiennent encore en vie. Elle explique qu’elle est une patiente de la deuxième ligne, c'est-à-dire qu'elle fait de ceux sur qui les premiers produits n’ont pas eu d’effet.... suite de l'article sur Autre presse