Durant six mois, trois associations (SOS Racisme, SOS Homophobie, UEJF) ont lancé le premier testing de masse, étude destinée à déceler une situation de discrimination, sur les dispositifs internes de signalement des réseaux sociaux Facebook, Twitter et YouTube. Leur but : « faire évoluer les politiques de signalement des différentes plateformes souvent opaques dans la gestion des signalements et apportant des réponses insuffisantes face aux menaces qu'elles hébergent ». Les résultats sont sans appel : près de 89 % des contenus haineux signalés ont été maintenus. Facebook fait figure de moins mauvais élève avec 34 % des signalements supprimés, tandis que Twitter n'en retire que 4 % et YouTube 7 %.... suite de l'article sur Autre presse