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Boko Haram: une crise humanitaire d’une gravité extrême
Publié le samedi 6 aout 2016   |  RFI


Visite
© AFP par ISSOUF SANOGO
Visite du Ministre de l`Intérieur Mohamed Bazoum dans un camp de populations déplacées près de Diffa
Ministre de l`Intérieur du Niger Mohamed Bazoum a visité un camp pour les populations déplacées près de Diffa le 16 Juin 2016 suite à des attaques par des combattants de Boko Haram dans la région .


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Abu Musab al-Barnawi est présenté par le groupe Etat islamique comme le nouveau leader de Boko Haram en Afrique de l'Ouest. Le groupe EI pousse ainsi le leader historique Abubakar Shekau vers la sortie. Et cette annonce prouve une scission déjà constatée sur le terrain. Les ONG tirent la sonnette d'alarme au sujet des réfugiés liés à cette crise.

Selon le général Lamidi Adeosun, commandant de la Force multinationale conjointe chargée de lutter contre Boko Haram, « nous pouvons dire que Boko Haram a en son sein deux leadership : celui de Shekau et celui de Al -Barnawi, reconnu par l'Etat islamique ». Mais, continue Lamidi Adeosun, « cette scission ne change rien dans les zones de combat. Qu'il y ait un ou deux groupes, nous savons que les combattants de Boko Haram sont concentrés dans deux zones particulières du Nigeria, l’une au sud et l’autre au nord. Cela ne change rien mais confirme juste que nous devons les attaquer là où ils sont. C’est déjà ce que nous faisons en ce moment ».

« Leur division en interne, poursuit le militaire nigérian, ne change pas beaucoup notre stratégie. Dans les cinq pays engagés dans la coalition, il y a des opérations militaires nationales contre les hommes de Boko Haram qui se cachent dans ces zones. La force multinationale conjointe, elle, se concentre sur les frontières. Boko Haram perd du terrain. Qu’ils soient ensemble ou qu’ils soient divisés, nous continuerons à les combattre jusqu'à ce qu'ils ne soient plus capable d'envoyer des combattants sur le terrain ».
... suite de l'article sur RFI


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