Avec le son rock, le beat reggae et l’énergie du tendé d’Azel, Bombino promène sa guitare hypnotique aux quatre coins du monde. Et entraîne les rythmes touaregs vers d’autres horizons.Aujourd’hui, l’homme bleu est drapé d’une tunique verte et d’une écharpe blanche. Avec son look touareg et sa bonhomie, Bombino porte bien le surnom de « gentil homme du désert ». « À l’âge de 12 ans, je chantais déjà dans les mariages, et on m’a appelé ainsi », raconte Omara Moctar, de son vrai nom, sur un ton à la fois empreint de timidité et de rondeur, à mille lieues des dures épreuves qu’il a dû traverser.... suite de l'article sur Jeune Afrique