Max Air, c’est cette compagnie, qui appartiendrait au richissime Nigérian, du nom Mangal qui fait la pluie et le beau temps, depuis quelques temps, selon l’opinion publique nationale au Niger. Pour d’autres opinions politiques, Mangal ferait également le printemps de quelques hommes politiques aux intestins fragiles.
C’est donc cette compagnie appartenant à cet homme d’affaire, spécialisée dans le transport des pèlerins aux lieux saints de l’Islam qui a été fermée par les services des fiscalités pour non payement d’impôts. En tout cas, nombreux sont les habitants du quartier poudrière qui ont du constater la porte d’entrée aux bureaux de cette compagnie scellée avec la marque ‘’fermée pour non payement d’impôts‘’. Cela s’était passé le mardi, 1er octobre 2013. Une date à garder désormais dans les annales de l’histoire, car, elle a mis à nu l’irrégularité de cette compagnie vis-à-vis des services des impôts, qui, pourtant, semble être très cotée auprès des autorités en charge de transports. D’ailleurs, depuis l’arrivée du système Guri aux affaires, le plus grand nombre des pèlerins nigériens est toujours transporté par cette compagnie. Ce qui pourrait faire dire à l’opinion, qu’elle engrange et accumule beaucoup de sous dans ce pays. Mais, sans apparemment payer ses impôts. En tout cas, la fermeture de ses portes, le mardi, 1er octobre 2013, par les services des impôts, est illustrative quant au non payement de ses impôts par cette compagnie. Du reste, avec la fermeture de ses portes par les soins des services des impôts, on est en droit de se poser la question de savoir, si Max Air depuis son installation au Niger s’est toujours conformée à la réglementation en vigueur au Niger, notamment par rapport au payement de ses impôts et de ses cotisations à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). En tout état de cause, la fermeture de cette compagnie pour non payement des impôts, édifie si besoin est, les Nigériens par rapport au comportement de certains ‘’guristes ‘’ qui semblent vouloir transformer le Niger en un « paradis fiscal »
