L'enquête progresse après l'attaque qui a fait 22 morts - des gendarmes, des militaires et des gardes - dans le camp de Tazalit le 6 octobre dernier en début d'après-midi. Les autorités pointent du doigt des éléments maliens mais aussi des complicités du côté des réfugiés.
Les dernières informations recueillies suggèrent que les éléments ayant pris d’assaut le camp le 6 octobre dernier appartiendraient à des communautés proches des groupes armés de la région de Kidal, notamment le Gatia, selon une source locale. La quarantaine d’assaillants serait partie d’une base située à Ilamawan, à 60 kilomètres à l’ouest de la ville de Midal, dans la région de Tahoua, au Niger.... suite de l'article sur Jeune Afrique