Spécialisée dans la fabrication de stations d’épuration, l’entreprise familiale, jusque-là présente au Maghreb, multiplie depuis deux ans les projets au sud du Sahara.
Serait-ce le fait d’une réglementation plus exigeante ? En tout cas, comme le constate Redouane Moussaoui, responsable des ventes chez Salher, depuis deux ans son carnet de commandes ne désemplit pas au sud du Sahara.
Née en 1980 et basée à Madrid, cette entreprise familiale espagnole qui emploie 50 salariés livre de plus en plus de stations compactes d’épuration en particulier en Côte d’Ivoire, mais aussi au Cameroun, au Sénégal et au Nigeria, et, plus rarement, au Ghana, au Congo, au Kenya et en Afrique du Sud.
Alors que jusqu’ici la demande y était sporadique dans la zone, l’entreprise, plus habituée aux marchés de la péninsule Ibérique, du Maghreb et de l’Amérique latine, a pris conscience du potentiel de son produit en Afrique subsaharienne.... suite de l'article sur Jeune Afrique