L’opposant Amadou Djibo était jugé en flagrant délit mardi 23 mai pour incitation au complot visant à renverser le régime. Mais aucune décision n’a été prononcée et l’affaire a été mise en délibéré au vendredi 26 mai, alors que la défense a soulevé des défauts dans la procédure.
Le leader du Front pour la restauration de la démocratie et la défense de la République (FRDDR), Amadou Djibo, devra patienter (au minimum) trois jours de plus avant de connaître le jugement du tribunal de grande instance de Niamey, devant lequel il est accusé d’incitation au complot visant à renverser le régime.
Alors qu’il passait en jugement mardi 23 mai, ses avocats ont avancé plusieurs vices de procédure et obtenu du juge qu’il mette l’affaire en délibéré au 26 mai. La défense a notamment mis en avant une mauvaise transcription d’un discours prononcé par son client en langue locale et sur lequel s’appuie notamment l’accusation.... suite de l'article sur Jeune Afrique