Dans son discours de fermeture de la 60ème session de la Commission africaine des droits de l’Homme et des peuples, hier lundi, à Niamey, le Premier ministre Brigi Rafini (photo) exhorte les pays africains à faire des efforts supplémentaires pour la promotion des droits de l’Homme sur le continent. «Vous avez aussi eu, lors de cette session, à examiner dans le cadre du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs, les rapports de plusieurs Etats parties.», dit-il d’entrée. « Les échos qui nous sont parvenus nous fondent à penser qu'au Niger comme dans tous les pays du Continent, la situation des droits civils et politiques, doit être améliorée pour promouvoir la démocratie et l'Etat de droit » sans lesquels, les libertés des citoyens ne sauraient s'épanouir et la bonne gouvernance, promue.
Le chef du gouvernement nigérien a profité de ce créneau pour rappeler les efforts consentis par son pays en matière des droits de l’Homme.
Dans l’ordre des droits civils et politiques, Brigi Rafini cite l’interdiction de l’esclavage, la mise en place d’un dispositif institutionnel de lutte contre les infractions de traite et de trafic des êtres humains. Le droit à la sécurité « constitue dans le contexte actuel, une préoccupation constante de mon gouvernement qui ne ménage aucun effort pour l'assurer à nos différentes frontières et défendre l'intégrité territoriale », assure-t-il.... suite de l'article sur Autre presse