Il y a encore un an, Les Filles de Illighadad chantaient dans la brousse, entre Tahoua et Agadez. Aujourd'hui, les trois musiciennes touarègues font la tournée des plus grands festivals européens.
Quoi de plus naturel, pour un groupe de musique issu d’un peuple nomade, que de vous donner rendez-vous dans un aéroport ? Dans le hall, Les Filles de Illighadad sont assises à côté de leurs instruments, attendant patiemment leur vol pour Casablanca, avant de prendre leur correspondance pour le Portugal, où elles sont attendues au Festival islamique de Mértola.... suite de l'article sur Jeune Afrique