Parer au boom démographique qui a surpris et déjoué les prévisions des politiques publiques au Niger. C’est le défi que s’est lancé le gouvernement en annonçant vouloir porter le taux de prévalence contraceptive à 50%. L’information a été donnée par la ministre de la Population, Rékiatou Jackou, hier à l’occasion de la journée mondiale de la population.
Pour elle, « seulement 14% des femmes en union utilisent une méthode de contraception, dont 12% de méthodes modernes et 2% de méthodes traditionnelles ». Un faible taux qui selon la ministre résulte des problèmes liés à l’accès à l’information et aux services de santé de la reproduction en général et à la planification familiale en particulier.
Le thème retenu pour la célébration de cette année est « Planification familiale : autonomiser les personnes, développer les nations ».... suite de l'article sur Autre presse