Des questions subsistent encore après les annonces d'Emmanuel Macron sur sa politique migratoire. Dans un discours prononcé jeudi, le président français a clairement distingué les réfugiés politiques et les migrants économiques. Il veut examiner les demandes d'asile «en amont», directement sur le terrain dans ce qu'on appelle des «hotspots», des centres d'examen. L'Elysée dit avoir identifié des zones dans le sud libyen, le nord-est du Niger, et le nord du Tchad pour installer des centres de l'OFPRA, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Une nouvelle mesure qui suscite des commentaires.
L’annonce de ces hotspots, centre d’examen pour migrants, a été largement commentée. Parmi les pays concernés, il y a le Tchad. Pour le ministre tchadien des Affaires étrangères, la priorité, ce n'est pas d'intercepter les migrants avant qu'ils ne partent, mais plutôt de trouver une solution pérenne pour créer des emplois qui puissent retenir ces jeunes.... suite de l'article sur RFI