Pour contourner les postes de contrôle, les trafiquants prennent des routes plus dangereuses à travers le désert du Sahara, loin des points d'eau et des services base.
Parfois les véhicules tombent en panne ou bien les conducteurs se perdent et les migrants sont alors abandonnés dans le désert.
Selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), 1000 migrants ont été secourus dans le désert dans le nord du Niger depuis avril.... suite de l'article sur Autre presse