Gingembre, bissap, bouye, tamarin… Pour l’ancienne employée de banque Ma Rouckya Bachir, les plantes sahéliennes méritent qu’on s’y intéresse d’un peu plus près. Elle espère pouvoir faire passer sa production, encore artisanale, au stade semi-industriel courant 2018.
La date est restée gravée dans sa mémoire : le 12 mars 2015, Ma Rockya Lalaiba enregistrait officiellement son entreprise, Sahel Délices, au registre du commerce de Niamey. Son plan : concocter des produits exploitant au mieux les valeurs nutritives des plantes locales : le tamarin, l’hibiscus, le gingembre…... suite de l'article sur Jeune Afrique