Le 4 octobre, quatre commandos américains et cinq militaires nigériens ont été tués par un groupe djihadiste.
Avec les forces du Pentagone au Sahel, « la coordination pourrait être meilleure ». Telle est la conclusion des responsables français après l’embuscade qui a coûté la vie à quatre commandos américains et cinq militaires nigériens au Niger, le 4 octobre.
Le commandement américain pour l’Afrique a annoncé s’être rendu sur les lieux dimanche 12 novembre. Dans le village de Tongo Tongo, à la frontière du Mali, un groupe de douze commandos, accompagnés de trente soldats nigériens, s’est trouvé piégé par l’Etat islamique dans le grand Sahara (EIGS). De soixante-dix à cent de ses combattants ont attaqué les soldats qui s’étaient attardés dans le village au retour d’une patrouille qui avait poussé jusqu’au Mali, à la recherche d’un cadre du groupe djihadiste.... suite de l'article sur LeMonde.fr