Si l’œuvre, la démarche et les pratiques du vibrionnant « mage blanc » font encore polémique, l’ethnocinéaste Jean Rouch est célébré partout pour les 100 ans de sa naissance.
Comment aurait-il accueilli l’hommage de son vivant ? Dans un grand éclat de rire ? Filmant la mine compassée des visiteurs se rendant aux multiples expositions fêtant son centenaire ? Documentant cet étrange culte voué au grand homme, en maître de l’ethnofiction ? Jean Rouch, le disparu, est partout. À Paris d’abord : au CNRS, qui présente des photogrammes tirés de ses films, à la BnF, surtout, qui propose une déambulation très riche autour de « l’homme-cinéma », qui s’est éteint sur une route nigérienne en 2004…... suite de l'article sur Jeune Afrique