L’initiative visant à former, d’ici à la mi-2018, un contingent de 5 000 soldats de la région est soutenue par la France qui espère se désengager progressivement.
Au lendemain du sommet sur le climat, la France réunit, mercredi 13 décembre, une vingtaine de dirigeants pour accélérer la mise en œuvre de la nouvelle force conjointe G5 Sahel en raison de « l’urgence » sécuritaire sur le terrain. Cette « réunion de soutien » se tient à l’initiative d’Emmanuel Macron, qui a récemment jugé « urgent de renverser la tendance » au Sahel, où « les terroristes » ont « enregistré des victoires militaires et symboliques » ces derniers mois.
Pour cela, le président français a convié au château de La Celle-Saint-Cloud, près de Paris, ses homologues du G5 Sahel : le Malien Ibrahim Boubakar Keïta, le Nigérien Mahamadou Issoufou, le Burkinabé Roch Marc Christian Kaboré, le Tchadien Idriss Déby et le Mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz.... suite de l'article sur LeMonde.fr