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Le Niger demande le soutien du Maroc pour organiser le Sommet de l’UA en 2019
Publié le mercredi 27 decembre 2017   |  Agence de Presse Africaine


Les
© Autre presse par DR
Les Ministres du G5 tentent de mobiliser les moyens pour éradiquer le terrorisme
Le Centre for Strategic and International studies a Washington D.C. à abrité le 01 Novembre 2017 de 9h à 10h30 du matin une conférence débat avec les cinq ministres du G5 Sahel. Photo:ministre nigérien des Affaires Etrangères, M. Ibrahim Yacoubou


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Le gouvernement du Niger a demandé le soutien du Maroc pour organiser le Sommet de l’Union africaine en 2019, a annoncé le ministre nigérien des affaires étrangères, de la coopération, de l'intégration africaine et des Nigériens à l’extérieur, Ibrahim Yacoubou

« Nous avons un projet important au niveau international qui est celui de l’organisation du Sommet de l’UA en juillet 2019 et nous sommes venus présenter à nos frères marocains ce projet et solliciter leur capacité et leur expérience pour aider le Niger à organiser cette importante activité », a indiqué le Chef de la diplomatie du Niger lors d’une conférence de presse à l’issue de la 4e session de la commission mixte de coopération, tenue ce mardi à Rabat.


« Nous voudrions qu’avec le Maroc et compte tenu du retour symbolique du retour du Royaume à l’UA que cela soit une occasion où nous pourrions encore montrer un modèle de coopération sud-sud », a-t-il ajouté.

Au sujet de la Libye, le ministre nigérien a exprimé la préoccupation de son pays sur la situation en Libye. « Le problème en Libye est complexe. Il y a beaucoup d'interférences étrangères et d'acteurs avec des agendas divers qui ne vont pas dans le sens de la paix », a-t-il regretté.

« Le situation au Sahel s’est dégradée aujourd’hui avec la présence de groupes terroristes qui attaquent le Niger, le Mali et le Burkina Faso et qui constituent une préoccupation majeure pour nous », a-t-il souligné, plaidant pour la restauration de l’Etat libyen à la faveur d’un processus démocratique mené par les Libyens eux-mêmes. Pour lui, la situation est « très difficile, mais je pense que nous allons travailler ensemble selon une nouvelle perspective ».

Sur la même question, le ministre marocain des AE, Nasser Bourita a insisté sur le fait que l'accord de Skhirat est toujours en vigueur deux ans après sa signature au Maroc. «L'accord de Skhirat n'appartient pas uniquement aux Libyens. Il appartient à la Communauté internationale», a-t-il estimé.

«Ceux qui soulèvent aujourd’hui ce débat veulent un gite, ils veulent écarter l'unique référence acceptée par la communauté internationale pour aller sur des approches aventurières qui n'augurent de rien de bien ni pour la Libye ni pour la stabilité régionale», a ajouté le ministre marocain.

HA/APA

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