Deux cents salariés nigériens de la Société des mines de l’Aïr (SOMAÏR), succursale nigérienne du groupe nucléaire français Areva, viennent d’être licenciés « pour des raisons économiques », de même que 500 autres agents sous-traitants.
Areva, qui exploite depuis plus de 50 ans, à travers ses filiales SOMAÏR et COMINAK, les gisements d’uranium d’Arlit (extrême nord), a mis en exécution son plan de départ annoncé en octobre dernier pour faire face aux difficultés du marché.
Ces mesures font partie d’un plan lancé par les deux filiales d’Areva au Niger afin de faire face à la conjoncture née de la baisse des prix de l’uranium sur les marchés internationaux depuis quelques années, ont justifié ses responsables.... suite de l'article sur Autre presse