En prélude à la réunion des chefs d’Etat du G5 Sahel qui s’ouvre, ce mardi 6 février, à Niamey, les chefs d’état-major des cinq armées se sont réunis pour dégager les conclusions de la seconde opération sur les frontières du Mali et du Burkina Faso. Lors d’une conférence de presse, le général Didier Dacko, commandant de cette force, a donné des précisions.
Selon le général Didier Dacko, commandant de la Force conjointe G5 Sahel, la seconde opération baptisée Pagnali (« tonnerre », en langue peul), a concerné deux zones frontalières du Mali et du Burkina Faso.
« Deux bataillons dont un des forces armées maliennes et un autre des forces armées du Burkina Faso ont été déployés au compte de la force conjointe du G5 Sahel, sur une zone d’environ 8 000 m2 », a-t-il précisé.... suite de l'article sur RFI