La stratégie qui privilégie une option militaire disproportionnée à la frontière entre le Niger et le Mali fait peser un risque sur la région : celui de créer un nouveau foyer d'insurrection. C'est le constat que dresse l'International Crisis Group, qui fait une série de recommandations.
Plus de cinq ans après le début de l’intervention militaire française au Mali, la lutte contre les groupes armés jihadistes agitent toujours le Sahel. Non seulement les tensions s’étendent à de nouvelles zones, mais elles alimentent aussi de nouvelles violences en interférant avec des tensions intercommunautaires plus anciennes. C’est le cas, en particulier, à la frontière entre le Niger (régions de Tillabéri et Tahoua) et le Mali (région de Ménaka).... suite de l'article sur Jeune Afrique