Depuis hier, jour de la rentrée académique dans certaines facultés des universités publiques du Niger, les enseignants-chercheurs observent une grève. Ils exigent l’apurement de leurs dettes par l’Etat, ainsi que la prise en charge pour les assurances maladie et le versement des frais d'encadrement et de soutenance.
Initié par le Syndicat national des enseignants-chercheurs du supérieur (SNECS), ce débrayage va s’étaler du 3 au 7 septembre.
Tout en se félicitant du bon déroulement du mouvement de grève dans les amphithéâtres, les responsables du SNECS préviennent qu’au cas où leurs revendications ne seraient pas entendues, ils reconduiraient tout simplement la grève jusqu’à ce que des solutions soient trouvées.... suite de l'article sur Autre presse