Le prêtre italien enlevé au Niger aurait été emmené au Burkina voisin, où les attaques se multiplient faute de réponse sécuritaire adéquate.
L’enlèvement d’un prêtre missionnaire italien, dans la soirée de lundi 17 septembre, dans un village situé à 125 km au sud-ouest de Niamey est évidemment une mauvaise nouvelle pour les autorités nigériennes, déjà confrontées, plus au nord, aux débordements des groupes djihadistes opérant de part et d’autre de la frontière avec le Mali.
C’est surtout une très mauvaise nouvelle pour le Burkina Faso voisin qui voit apparaître, depuis quelques mois, dans sa partie orientale, un nouveau « front djihadiste », selon les mots employés par les services de sécurité burkinabés, aux contours encore flous.... suite de l'article sur Autre presse