Des financements mobilisables et mieux répartis, des projets réalistes et hiérarchisés... Le G5 Sahel pourrait cette fois tenir ses engagements, et ce avant 2021.
Le 6 décembre, à Nouakchott, en Mauritanie, les bailleurs de fonds et partenaires ont promis d’apporter une aide de 2,4 milliards d’euros pour le développement au G5 Sahel, qui regroupe le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad, confrontés à la pauvreté et au terrorisme. Nombreux sont les sceptiques qui pensent que ces promesses de financement ne seront pas plus tenues que celles des 420 millions annoncés pour financer la force militaire conjointe.
Mais il se pourrait que, cette fois, les engagements puissent être tenus, et ce avant 2021, horizon fixé pour la première phase du Programme d’investissements prioritaires (PIP) du G5 Sahel. Il existe en effet plusieurs raisons d’être optimiste.... suite de l'article sur Jeune Afrique