Comme le prévoit la Constitution, le chef de l’État Mahamadou Issoufou ne se représentera pas en 2021, mais il a déjà désigné son dauphin. À ses détracteurs, qui lui reprochent d’avoir sacrifié le développement économique au profit des dépenses sécuritaires, il oppose un bilan positif dont il s’enorgueillit.... suite de l'article sur Jeune Afrique