Pour le président des patrons du Niger, la concurrence avec les multinationales n'est pas équitable même en dépit du faible coût de la main d’œuvre nationale.
Jeune Afrique : Comment se porte le milieu de l’entreprise au Niger, notamment après la tenue du sommet de l’Union africaine dans la capitale ?
Saley Seybou : Cet événement a été l’occasion de se pencher sur la création de la zone de libre-échange continentale, qui doit faciliter les échanges entre les différents pays africains. Au CNP, nous essayons de mobiliser les acteurs privés sur ces questions, avec une attention toute particulière portée à l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes. Nous tentons de soutenir au maximum les secteurs industriel, minier et agricole. Et d’améliorer l’environnement des affaires… La globalisation fragilise parfois nos entreprises. Nous faisons face à une concurrence qui n’est pas équitable.... suite de l'article sur Jeune Afrique