Le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (UN/OCHA) a déjà remis 1154 actes de naissance à des personnes qui risquaient l’apatridie, c’est-à-dire sans nationalité légale, donc sans prise en charge de l’Etat.
C’est ce qui ressort d’un bilan publié le 25 septembre 2019, qui présente les actions de l’organe onusien en faveur des populations nigériennes.
Ce chiffre, souligne UN/OCHA, représente 57% de la population totale ciblée par le risque d’apatridie.