Les autorités nigériennes interdisent aux ONG et autres organismes des Nations unies de se déplacer sans escorte militaire dans certaines zones dangereuses frontalières du Mali.
Tout est parti de l’enlèvement de deux véhicules du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) aux environs de Tongo-Tongo il y a un peu plus d’un mois, le 10 septembre. Une zone dangereuse sans escorte et sous état d’urgence.
Les humanitaires avaient à l’époque trompé la vigilance du préfet de Ouallam, lui disant qu’ils allaient juste à 18 kilomètres rencontrer la population des déplacés de Tangara.... suite de l'article sur RFI