En raison de la crise sanitaire, le Nigérian Akinwumi Adesina ne saura qu’à la fin du mois d’août s’il est réélu à la tête de la BAD. S’il demeure le seul candidat en lice, il fait toujours face à de graves accusations.
Depuis le 19 mars, les employés de la Banque africaine de développement (BAD) ont délaissé le siège d’Abidjan et sont en télétravail. Personne ne sait encore quand ces conditions particulières imposées par la pandémie de Covid-19 prendront fin, mais, à mots couverts, certains salariés reconnaissent qu’ils aimeraient bien qu’elles se prolongent encore un peu tant ils redoutent les retrouvailles avec leur président, Akinwumi Ayodeji Adesina. « L’ambiance est très tendue », explique l’un d’eux.... suite de l'article sur Jeune Afrique