Depuis l’annonce en avril dernier de l’initiative conjointe G20 et Club de Paris pour l’annulation de la dette des pays pauvres, une signature manque encore au bas de la page: celle de la Chine, première créancière du continent africain avec un encours de 145 milliards de dollars accumulé entre 2000 et 2018 et représentant 40% du stock de la dette africaine. Plusieurs fois interpellée sur la question, Pékin est restée polie mais de marbre, privilégiant... suite de l'article sur Autre presse