Des militaires nigériens étaient en train de sécuriser des travaux pour la construction d'un tronçon routier vers l’Algérie voisine. Au moins deux soldats sont morts, du matériel a été volé et des poursuites engagées.
Vingt-quatre heures après l’attaque terroriste du PK110 sur l’axe de la transsaharienne Agadez-Arlit-Assamaka, à la frontière algérienne, on est toujours sans nouvelles des poursuites engagées contre les assaillants. C’est dans la nuit de samedi à dimanche dernier qu’une position des gardes nationaux, qui sécurisaient un chantier routier, a été attaquée par des hommes armés non identifiés.
No man's land aux trois frontières
Un bilan provisoire fait état d’au moins deux soldats tués. Un des véhicules des gardes monté d’une mitrailleuse et un autre 4x4 appartenant à l’entreprise chargée de la construction du tronçon ont été enlevés.... suite de l'article sur RFI