Face à la menace de chaos brandie par l’opposition, le chef de l’État nigérien tout juste réélu prône l’apaisement. Un geste aussi destiné à rassurer la communauté internationale.
Au lendemain de sa réélection, qui a été validée par la Cour constitutionnelle le 30 mars, Mahamadou Issoufou souffre-t-il d’un déficit de légitimité ? C’est ce que clament tous ses opposants. Le 20 mars, au second tour de la présidentielle, le sortant a été reconduit avec le score « soviétique » de 92,4 % des suffrages exprimés, avec un taux de participation de 59,7 % que l’opposition ne juge pas crédible.... suite de l'article sur Jeune Afrique